La Foire de Libramont
C'est quoi ?
« Forêt : le mot foresta vient soit du latin foris : au dehors, d'où, en bas-latin, forestare :
bannir. Soit plus probablement de forum en latin : tribunal... »
Larousse des arbres. 2010, page 568.
« La tête doit être bien portée, petite à front large et plat. Les oreilles courtes, petites,
droites de préférence, pointées vers l'avant. L'œil doit être vif, assez gros et expressif,
l'arcade orbitaire légèrement saillante. Les naseaux larges et bien ouverts. »
Critères du cheval de trait ardennais. (1)
En 1926, les éleveurs ardennais se regroupent en une union professionnelle et organisent un an plus tard, le premier concours de chevaux de trait ardennais. C’est ainsi que la Foire de Libramont est née ; de cette envie d’entreprendre, de partager et d’innover. Foire agricole, forestière et agroalimentaire, elle est aujourd’hui une gigantesque exposition en plein air qui accueille chaque année plus de 215 000 visiteurs, 700 exposants pour plus de 3500 animaux sur un champ de foire de 30 hectares. Elle est non seulement une foire, mais également une fête.
Dans une ambiance de détente et de plaisir, la foire propose des concours d’animaux et accueille aujourd’hui, chevaux et poneys, ovins et bovins, cochons et volailles ; elle présente également des machines de génie civil de haute technologie, elle met en avant le développement durable afin de concilier le mieux possible l’homme dans son environnement, et elle a gardé depuis ses débuts une place toute particulière au cheval ardennais qui reste l’âme de la foire.
Cheval de trait ardennais © Jean-Pierre Ruelle
On peut découvrir les corps de métiers associés au cheval. Entre le maréchal-ferrant, le vétérinaire ou encore le bourrelier – artisan qui fabrique et répare les harnais, tous se mettent au service du cheval. Différents moments forts liés au cheval sont organisés :
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La traction chevaline : cette épreuve est divisée en trois parties : la maniabilité, la conduite et la force. Dans cette épreuve, l’homme ne peut guider son cheval que par la parole. L’épreuve de force consiste à déplacer un traîneau contenant des sacs d’aliments sur une distance de 25 mètres en ligne droite. Le poids initial de 1000 kg est augmenté de 100 kg à chaque passage réussi et ensuite de 50 kg à la fin de l’épreuve. Seul le dernier concurrent pourra effectuer un parcours incomplet.
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Le jumping : Depuis très longtemps, le jumping fait partie intégrante de l’animation de la foire. Aujourd’hui les infrastructures se sont modernisées et les chevaux nationaux peuvent être accueillis dans le plus grand confort.
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Dans l’espace du Grand Ring, sont présentées les races chevalines, le dressage, un défilé d’élite des races, une présentation d’attelage ou du matériel lié aux chevaux. Des poneys games sont également organisés au plus grand plaisir des enfants.
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Le cheval ardennais occupe une place importante. Des spécialistes sont à disposition et plusieurs manifestations sont liées à lui : des présentations, plusieurs concours d’élevage et un marathon d’attelage avec obstacles naturels en forêt de Paliseul.
Le standard de la race du cheval de trait ardennais a été défini par Fernand Lemaire en 1948 pour la Société Royale Le Cheval de Trait Ardennais et revu par le conseil d’administration du Stud-Book en 2004.
Soins vétérinaires © Ooh ! Collective
En voici les critères essentiels qui le définissent :
« - L'aspect général de l'Ardennais doit être distingué, harmonieux dans ses lignes, trapu, c'est-à-dire bas, profond, large, bien musclé et court.
- La robe doit être franche et il doit posséder un influx nerveux suffisant, indice d'un tempérament vigoureux.
- La tête doit être bien portée, petite à front large et plat. Les oreilles courtes, petites, droites de préférence, pointées vers l'avant. L'oeil doit être vif, assez gros et expressif, l'arcade orbitaire légèrement saillante. Les naseaux larges et bien ouverts.
- L’encolure doit être moyennement longue, bien greffée, légèrement rouée.
- La poitrine est ample, profonde, près de terre avec l’épaule oblique.
- Le dos doit être court et soutenu, faisant suite à un garrot bien soudé à l’épaule.
- Le rein sera fortement musclé et la croupe double.
- Les membres doivent être forts, suffisamment gros mais sans excès. Les articulations seront larges, sèches, basses. Les tendons bien détachés.
- Les pieds présenteront une corne saine et dure. La couronne sera nette et sèche.
- La peau sera fine et soyeuse.
- La taille maximum ne dépassera pas 1,62 m pour les étalons et 1,60 m pour les juments.
- Les aplombs seront corrects avec un bon alignement des segments car ils conditionnent un déplacement harmonieux et garantissent l’intégrité des articulations.
- Les allures seront amples, énergiques, souples et brillantes. Le pas sera aisé de même que le trot, ce qui garantira une bonne mobilité et une facilité de déplacement. Les battues seront nettes et sonores. » (1)
Le cheval de trait ardennais se voit attribuer trois fonctions : l’élevage, l’attelage et l’exploitation forestière. Même si la mécanisation dans ce dernier domaine se développe de plus en plus, l’homme trouve en l’Ardennais un allié hors pair qui n’a pas d’équivalent mécanique dans le relief accidenté des Ardennes.
Soucieuse de la richesse de la forêt ardennaise, la foire de Libramont organise depuis 2009 les journées forestières qui se déroulent sur le site du Bois du Defoy dans la commune de Paliseul. Ces journées sont l’occasion de découvrir les métiers et les loisirs liés à la forêt. La Wallonie produit actuellement 3 à 4 millions de sapins dont 80% sont exportés ; un secteur entier de la foire est donc axé sur les sapins de Noël...
La Foire de Libramont © Ooh ! Collective
La forêt ardennaise :
Le climat assez rude et les sols pauvres, le relief étant le plus élevé de Belgique (entre 300 et 700 mètres d’altitude), expliquent la présence d’une forêt composée de petits chênes ainsi que de nombreux résineux. Les exploitations forestières travaillent essentiellement les feuillus tels que : le hêtre, le chêne, le frêne, le peuplier et les résineux tels que l’épicéa, le sapin, le douglas, le mélèze et le pin sylvestre.
À la foire, l’arbre est mis en valeur qu’il soit en champs ou en forêt, car il produit, protège et conserve.
Arbres des forêts, arbres des champs, arbres des villes
« En forêt, l’arbre peut donner le meilleur de lui-même en qualité de bois d’œuvre et offrir une rentabilité financière. Il peut accompagner les autres arbres dans leur développement. Isolé, il est chargé d’histoire ou symbolique ! Il peut être dominant ou dominé… Mort, il maintient ou accroit la biodiversité.
Dans les champs, l’arbre est présent dans les vergers, les bosquets, les drèves, les haies… Il sert à produire des fruits, d’abri pour le bétail, de noyau de biodiversité, de réserve de bois, … Il meuble le paysage, sert de limite territoriale, de brise-vent…
En ville, l’arbre habite les parcs urbains, les squares arborés…
Ces quelques exemples, parmi tant d’autres, soulignent l’importance de l’arbre et à quel point il est le complice de l’être humain tant sur le plan économique que social ! Il donne une vitalité à l’activité économique, inspire le monde de la recherche, joue un rôle social… »
C’est pourquoi l’arbre est mis en valeur à la foire et que de nombreuses activités telles que des expositions thématiques, animations interactives, tables rondes, ou parcours en forêt sont mis en place pour mieux le faire connaître.
La foire de Libramont, c’est le partage, la découverte, les nouvelles technologies, le questionnement sur l’agriculture d’aujourd’hui et de demain dans le respect de l’environnement, mais c’est avant tout un grand amour et respect des animaux et de la terre.
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Standard de la race [en ligne]. Stud-Book du cheval de trait ardennais. Disponible sur : <http://www.chevaldetraitardennais.be/index.php?lg=fpdb/chev_fr&page1=c-standard_de_la_race.htm> (consulté le 30/07/2013)
Stand de l’école de Maréchalerie © Ooh ! Collective
Ça se passe où ?
Libramont-Chevigny est une commune de la Région wallonne située dans la province du Luxembourg belge.
C'est quand ?
La foire de Libramont a lieu tous les ans, le dernier week-end de juillet, entre les foins et les moissons, lorsque l’hiver semble ne jamais pouvoir revenir.
Un brin d’évasion
Le yaaral et le degal chez les Peuls
Proclamé chef-d’oeuvre oral et immatériel de l’UNESCO en 2005.
« L’espace culturel du yaaral et du degal correspond au vaste espace pastoral des Peuls du delta intérieur du fleuve Niger. Le yaaral et le degal désignent les festivités qui marquent la traversée du fleuve, respectivement à Diafarabé et à Dialloubé, par les troupeaux de bovins qui pâturent tout au long de l’année entre deux espaces écologiques différents mais complémentaires : les terres arides du Sahel et les plaines inondables du bassin intérieur du Niger. Les festivités ont toujours lieu un samedi, jour faste dans les croyances populaires peules, qui est déterminé en fonction de l’état des pâturages et de la décrue du fleuve.
Ces fêtes grandioses donnent lieu à des manifestations extrêmement variées. Des concours du plus beau troupeau sont organisés et sont l’occasion de décorer les animaux. Les musiques et les danses des divers groupes sont exécutées. Les bergers déclament des poèmes pastoraux relatant leurs aventures pendant leurs longs mois de pérégrination à travers diverses contrées. Les jeunes filles revêtent leurs plus beaux habits et parures pour acclamer les bergers en chantant. Les épouses décorent minutieusement leurs maisons pour accueillir leur mari.
Ces deux évènements, dont l’origine remonte à la sédentarisation des Peuls dans la région, probablement vers le XIVe siècle, sont les pivots du mode de transhumance de ces populations. Les pratiques pastorales ont été codifiées au début du XIXe siècle. La gestion des pâturages, le tracé des pistes de transhumance et le regroupement des troupeaux en des points spécifiques ont permis de mieux organiser l’évènement et d’accueillir une foule plus importante, faisant de ces fêtes pastorales des événements majeurs. Parce qu’ils rassemblent des représentants de toutes les ethnies et corporations professionnelles du delta - éleveurs peuls, riziculteurs Marka ou Nono, cultivateurs de mil bambara et pécheurs Bozo - ainsi que des notables des autres régions du pays, le yaaral et le degal réactualisent les pactes intercommunautaires et renforcent la cohésion sociale.
L’adhésion massive des communautés de la région à ces festivités leur assure une continuité certaine. En revanche le yaaral et le degal sont aujourd’hui fragilisés par les sécheresses récurrentes qui se répercutent sur les pâturages et les troupeaux et perturbent le calendrier pastoral. L’exode rural des jeunes, qui entraîne une perte des connaissances et savoirs faire liés à l’élevage et à l’organisation des fêtes, et l’intervention souvent inappropriée du pouvoir central affectent également ces manifestations culturelles. »
L’espace culturel du yaaral et du degal [en ligne]. UNESCO. Disponible sur :
<http://www.unesco.org/culture/intangible-heritage/24afr_fr.htm> (consulté le 30/07/2013)
Un brin d'histoire
On a retrouvé des grattoirs et haches en silex, ainsi que des tombes datant du Ier et IIe siècle avant J.-C., attestant de l’occupation ancienne de ces terres par l’homme. Puis de grands domaines agricoles se développent. Mais le village commence réellement à prendre de l’importance avec l’installation de la gare du chemin de fer Bruxelles-Arlon, en 1858, suivit de différentes lignes.
En 1977, la fusion des communes en fait la 5e commune de Belgique en superficie : Libramont-Chevigny fusionnait avec les communes de l’ancien ban en plus de Bras, Freux, Moircy et Remagne.
Le nom provient de mont de Liebrard, qui est une forme altérée du germanique Liebrand. Libramontois viendrait de Lârons (brigands).
Une légende attribuerait le nom de Libramont à la comtesse Ermesinde ou à une princesse d’Anlier du XIIIe ou XIVe siècle, qui aurait accordé des libertés aux habitants désormais « libres à mont ».
Province de Luxembourg. Bruxelles : Editions Racine (Histoire et patrimoine des communes de Belgique), 2009, page 228.
Maréchalerie, travail du fer à cheval © Ooh ! Collective
Un brin de poésie
Son père étant de la région, Paul Verlaine a durant vingt ans, passé de longues vacances dans la région de Paliseul et Bertrix.
Paysages
Au pays de mon père on voit des bois sans nombre.
Là des loups font parfois luire leurs yeux dans l'ombre
Et la myrtille est noire au pied du chêne vert.
Noire de profondeur, sur l'étang découvert,
Sous la bise soufflant balsamiquement dure
L'eau saute à petits flots, minéralement pure.
Les villages de pierre ardoisière aux toits bleus
Ont leur pacage et leur labourage autour d'eux.
Du bétail non pareil s'y fait des chairs friandes
Sauvagement un peu parmi les hautes viandes ;
Et l'habitant, grâce à la Foi sauve, est heureux.
Au pays de ma mère est un sol plantureux
Où l'homme, doux et fort, vit prince de la plaine
De patients travaux pour quelles moissons pleine,
Avec, rares, des bouquets d'arbres et de l'eau.
L'industrie a sali par places ce tableau
De paix patriarcale et de campagne dense
Et compromis jusqu'à des points cette abondance,
Mais l'ensemble est resté, somme toute, très bien.
Le peuple est froid et chaud, non sans un fond chrétien.
Belle, très au dessus de toute la contrée,
Se dresse éperdument la tour démesurée
D'un gothique beffroi sur le ciel balancé
Attestant les devoirs et les droits du passé,
Et tout en haut de lui le grand lion de Flandre
Hurle en cris d'or dans l'air moderne : " Osez les prendre !"
Le pays de mon rêve est un site charmant
Qui tient des deux aspects décrits précédemment :
Quelque âpreté se mêle aux saveurs géorgiques.
L'amour et le loisir même sont énergiques,
Calmes, équilibrés sur l'ordre et le devoir.
La vierge en général s'abstient du nonchaloir
Dangereux aux vertus, et l'amant qui la presse
A coutume avant tout d'éviter la paresse
Où le vice puisa ses larmes en tout temps,
Si bien qu'en mon pays tous les cœurs sont contents,
Sont, ou plutôt étaient.
Au coeur ou dans la tête,
La tempête est venue. Est-ce bien la tempête ?
En tous cas, il y eut de la grêle et du feu,
Et la misère, et comme un abandon de Dieu.
La mortalité fut sur les mères taries
Des troupeaux rebutés par l'herbe des prairies
Et les jeunes sont morts après avoir langui
D'un sort qu'on croyait parti d'où, jeté par qui ?
Dans les champs ravagés la terre diluée
Comme une pire mer flotte en une buée.
Des arbres détrempés les oiseaux sont partis,
Laissant leurs nids et des squelettes de petits.
D'amours de fiancés, d'union des ménages
Il n'est plus question dans mes tristes parages.
Mais la croix des clochers doucement toujours luit,
Dans les cages plus d'une cloche encor bruit,
Et, béni signal d'espérance et de refuge,
L'arc-en-ciel apparaît comme après le déluge.
VERLAINE, Paul. Paysages [en ligne]. Toute la poésie. Disponible sur : <http://www.toutelapoesie.com/poemes/verlaine/amour/paysages.htm> (consulté le 26/07/2013)
Petit abécédaire
LE BLANC-BLEU BELGE ou BBB: race belge de vaches développée à la fin du XIXe siècle. En 1973, la race prend le nom de Blanc-Bleu Belge. Les éleveurs cherchent toujours à favoriser le développement de la masse musculaire pour arriver aux souhaits et aux besoins des bouchers.
La Blanc-Bleu-Belge © Ooh ! Collective
LA BLONDE D’AQUITAINE : race bovine à la robe froment du sud-ouest de la France, elle concourt à la foire de Libramont au même titre que la BBB, la Limousine, la Charolaise ou l’Holstein.
LE BOURRELIER : Artisan qui fabrique et répare les harnais des chevaux et des bêtes de somme, ainsi que certains articles en cuir (ceintures, sacs, intérieurs de voitures, etc.). (2)
L’ÉCOLE DE MARÉCHALERIE : C'est en 1904 que l'École Centrale Pratique de Maréchalerie de l'État est créée à Anderlecht, pour répondre à la nécessité de former des maréchaux-ferrants capables de résoudre par des ferrures appropriées les différents problèmes que posaient les nombreuses maladies des pieds des chevaux. Depuis, deux nouvelles implantations ont été créées : l’une à Ghlin sur le site de l’hippodrome et l’autre à Libramont-Chevigny. (1)
LA FOIRE : L’étymologie de foire provient du latin populaire feria « marché, foire », du latin classique feriae, feria « jours consacrés au repos » d'où « jours de fête ». Le terme spécifique de feriae novendiales « marché [qui se tenait à Rome tous les neuf jours] se rapportait aux foires qui se déroulaient en même temps que les fêtes religieuses ». (2)
LA FOURBURE : inflammation importante du sabot du cheval due à une suralimentation (trop d’herbe jeune), à un poulinage compliqué ou à une rétention d’arrière-faix.
DERMITE ESTIVALE (LA GALE D’ÉTÉ) : réaction prurigineuse du cheval due à une allergie aux piqûres des moustiques culicoïdes.
GENITEC : espace de la foire spécialement réservé à la démonstration de matériels de génie civil. Ces engins y sont présentés dans des conditions réelles de travail intense par des conducteurs chevronnés.
LE SABOT : « Le sabot du cheval est une protection cornée naturelle des pieds, doté d'un pouvoir de réparation, il pousse d'environ 1 cm par mois. Autrefois, à l'état sauvage, s'opérait parmi la population des chevaux une sélection naturelle et stricte. Seuls subsistaient les plus robustes et les mieux adaptés au climat et au terrain. La domestication a bousculé l'équilibre naturel : la nature du sol change et des charges supplémentaires forcent l'usure.
La ferrure est un art né de la nécessité de protéger les pieds des chevaux; elle permet également la correction des défectuosités d'aplomb ou d'allure et peut être nécessaire au traitement d'une blessure ou maladie. » (1)
Curage du sabot avant la pose du fer à cheval © Ooh ! Collective
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Présentation [en ligne]. École de Maréchalerie. Disponible sur :
<http://www.redlevelagency.net/5578/presentation.htm> (consulté le 26/07/2013)
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Foire [en ligne]. Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales. Disponible sur :
<http://www.cnrtl.fr/etymologie/foire> (consulté le 26/07/2013)
Sources
Province de Luxembourg. Bruxelles : Editions Racine (Histoire et patrimoine des communes de Belgique), 2009
MAZOYER, Marcel (dir.) Larousse agricole. Larousse, 2002
BROSSE, Jacques. Larousse des arbres. Larousse, 2010
La foire de Libramont [en ligne]. Disponible sur :
<http://www.foiredelibramont.be/> (consulté le 30/07/2013)
Stud-Book du cheval ardennais [en ligne]. Disponible sur : <http://www.chevaldetraitardennais.be/> (consulté le 30/07/2013)
Commune de Paliseul [en ligne]. Disponible sur : <http://www.paliseul.be/> (consulté le 30/07/2013)
École de Maréchalerie [en ligne]. Disponible sur :
<http://www.redlevelagency.net/5578/ >(consulté le 26/07/2013)
La Banc-Bleu Belge de type mixte [en ligne]. Gembloux Agro-Bio Tech, Université de Liège. Disponible sur : <http://www.gembloux.ulg.ac.be/zt/Publications/PDF/Eureca/Blanc-Bleu%20Belge%20de%20type%20mixte_FR.pdf> (consulté le 26/07/2013)
Standard de la race [en ligne]. Stud-Book du Cheval de Trait Ardennais. Disponible sur : <http://www.chevaldetraitardennais.be/index.php?lg=fpdb/chev_fr&page1=c-standard_de_la_race.htm> (consulté le 26/07/2013)
L’espace culturel du yaaral et du degal [en ligne]. UNESCO. Disponible sur : <http://www.unesco.org/culture/intangible-heritage/24afr_fr.htm> (consulté le 30/07/2013)
VERLAINE, Paul. Paysages [en ligne]. Toute la poésie. Disponible sur : <http://www.toutelapoesie.com/poemes/verlaine/amour/paysages.htm> (consulté le 26/07/2013)
Dictionnaire :
Le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales [en ligne]. Disponible sur :
<http://www.cnrtl.fr/> (consulté le 26/07/2013)
Dictionnaire Larousse [en ligne]. Disponible sur : <http://www.larousse.fr/> (consulté le 26/07/2013)
Liens utiles
Site de la Province de Luxembourg : http://www.province.luxembourg.be/fr/
Site de la Foire de Libramont : http://www.foiredelibramont.be/
A écouter :
Musique captée sur place