Les Fêtes de la Saint-Martin à Tourinnes-la-Grosse
- « Viens jouer avec nous dans le spectacle, c'est une occasion unique de rencontrer les gens du village ! »
- « Le plus jeune a 6 ans, le plus âgé a 89 ans (...) la transmission est automatique »
- « Comme un peintre qui se peint toujours et qui prend ses voisins, qui les peint »
C'est quoi ?
« Il ne faut jamais interrompre la conversation d’un enfant avec son ange »
Julos Beaucarne (1)
« Mais où veux-tu que j’aille ? je suis né ici… »
Tiken Jah Fakoly (2) chanteur ivoirien cité dans un livre édité lors des fêtes 2012
« Si à travers les êtres, à travers toute chose, c’est vers moi que tu viens, tu ne seras jamais déçu »
Max Van der Linden évoquant une conversation entre Jésus et Joël
Affiche des fêtes de la Saint-Martin, 1994 © Les Amis de Tourinnes
Les fêtes de la Saint-Martin à Tourinnes-la-Grosse sont nées de la passion du céramiste Max van der Linden en 1965, de son envie de partager la beauté, de mélanger les arts et de rassembler amis et artistes autour d’un même évènement.
Célébrées à l’origine le jour de la Saint-Martin, et marquées par l’emblème du saint qui partagea son manteau avec un pauvre, les fêtes permettent à l’art de sortir des musées afin de s’offrir aux villageois et paysans de la localité. Grâce à son humanité et à sa force de rassemblement, les nombreux amis plasticiens de Max van der Linden lui font l’honneur de présenter leurs œuvres lors de l’évènement. À leurs côtés exposent des artistes amateurs ou confirmés, des environs et d’ailleurs.
C’est ainsi que durant quatre week-ends, les maisons, les églises, les fermes de Tourinnes-la-Grosse et des villages environnants servent à abriter au plus proche des habitants des œuvres d’art.
Peinture, sculpture, gravure, travail sur bois, photographie, dessin, musique, design textile, marqueterie, ferronnerie d’art, illustration, création de bijoux et bien sûr céramique se partagent les espaces libres. Les musiciens, chanteurs ou comédiens apportent leur touche de vie et de partage à l’évènement. L’église romane sert de scène à la création d’un spectacle, et des greniers aux anciens poulaillers, le spectateur peut visiter et découvrir d’innombrables œuvres et artistes.
Les fêtes de la Saint-Martin à Tourinnes sont le premier parcours d’artistes en Belgique, qui perdurent malgré la disparition de Max van der Linden en 1999 et ne cessent de se développer.
C’est un mois de retrouvailles entre amis où l’art quitte les villes et s’invite chez l’habitant, où le partage et la découverte réchauffent les cœurs, un mois où, à Tourinnes-la-Grosse, la grisaille automnale s’habille de couleur et de joie.
Les fêtes sont composées de plusieurs parties : les œuvres des artistes invités par les Amis de Tourinnes, les œuvres des artistes en liberté qui exposent dans les maisons ou ateliers ouverts par les habitants et les artistes de la région, un spectacle créé pour l’occasion dans l’église et qui rassemble plus de 150 acteurs et choristes amateurs, ainsi que le parcours Max van der Linden qui relie différents lieux chers à l’artiste dans lesquels sont exposées ses œuvres.
Les artistes invités (en 2012)
Juan Paparella (commissaire)
Marie-France et Patricia Martin
Ana Gallardo
Hélène Amouzou
Michel Clerbois
Vahan Poladian
Dominique Théâte
Dominique Vrancken
Stephan Balleux
Juan Paparella, Encéphalogramme © Ooh ! Collective
Ça se passe où ?
Tourinnes-la-Grosse est une localité de la commune de Beauvechain, dans la Province du Brabant wallon, à une vingtaine de kilomètres à l’est de Bruxelles.
Les expositions se déroulent en fonction des lieux ouverts par les habitants et les artistes. En 2012, les visiteurs pouvaient découvrir 150 artistes répartis dans 75 lieux situés dans les villages de Tourinnes, Nodebais, Hamme-Mille, Beauvechain, Néthen et La Bruyère.
C'est quand ?
Les fêtes ont lieu tous les ans et se déroulent sur quatre week-ends en novembre.
Un brin d’évasion
Le savoir-faire de la céramique traditionnelle de Horezu, en Roumanie
« La céramique de Horezu est un artisanat traditionnel unique. Fabriquée à la main dans le nord du département de Vâlcea, Roumanie, elle illustre des générations de savoir-faire et d’artisanat. Les hommes et les femmes se répartissent en général les processus de fabrication. Les hommes choisissent et extraient la glaise qui est ensuite nettoyée, coupée, arrosée, pétrie, piétinée et malaxée, la transformant en une pâte à partir de laquelle les potiers de Horezu produisent une céramique rouge. Puis les potiers donnent la forme de l’objet avec une technique de doigté particulière qui réclame concentration, force et agilité. Chacun a sa façon de modeler, mais tous respectent l’ordre des opérations. Les femmes décorent les objets à l’aide d’outils et de techniques spécifiques pour tracer les motifs traditionnels. Leur habileté à conjuguer décoration et couleurs définit la personnalité et le caractère unique de la céramique. Les couleurs ont des nuances vives de brun foncé, rouge, vert, bleu et « ivoire de Horezu ». L’objet est alors passé au four. Les potiers se servent des outils traditionnels: un malaxeur pour nettoyer la terre, un tour de potier et un peigne pour le modelage, une corne de bœuf évidée et un bâtonnet prolongé d’un fil de fer pour la décoration et un four à bois pour la cuisson. Le métier se transmet par l’intermédiaire de la famille, dans les ateliers, du maître à l’apprenti, ainsi que dans les foires et les expositions. L’élément donne à la communauté un sentiment d’identité tout en maintenant une fonction sociale dans la vie quotidienne. »
Le savoir-faire de la céramique traditionnelle de Horezu [en ligne]. Site officiel de l’UNESCO. Disponible sur : <http://www.unesco.org/culture/ich/index.php?lg=fr&pg=00011&RL=00610> (consulté le 26/12/2012)
Céramique de Horezu © 2011 CNCPCT/MCPN. UNESCO
Un brin d'histoire
HISTOIRE DE MAX VAN DER LINDEN
Surnommé Miqui, Max van der Linden est un céramiste de renommée mondiale né en 1922 à Nobelais et disparu en 1999.
Il entra au Séminaire en 1941, mais le quitta 4 ans plus tard afin de se consacrer à son art, celui de raconteur d’histoires qu’il partage en modelant la terre. Il étudia alors la céramique puis s’installa dans la ferme d’Agbiermont à Nobelais où il ouvrît grand ses portes aux amis et aux visiteurs. Il développa de nombreux spectacles, concerts et conférences afin de provoquer des rencontres, des échanges et de permettre aux habitants de la région de sortir de l’isolement. C’est de son envie de partage que naissent les fêtes de la Saint-Martin en 1965.
TOURINNES-LA-GROSSE
On ne connait pas l’étymologie exacte de Tourinnes. Pour certains, le nom viendrait du germanique thurn qui signifie « buisson épineux », pour d’autres, elle serait issue du dieu germanique Thor qui était célébré vers la fin de l’automne, et d’aucuns pensent qu’il proviendrait de la ville de Tours en hommage à Saint Martin qui y fut évêque.
Rien n’est certain en ce qui concerne Tourinnes, mais c’est à son église qu’elle doit son surnom de « la grosse ».
L’ÉGLISE. La partie la plus ancienne de l’église, sa nef centrale, date de l'époque carolingienne. C'est probablement au XIIe siècle qu’a été rajoutée la tour massive, plus basse et plus grosse que celles des autres églises et qui donna au village le surnom de « grosse » au XIXe siècle. L'église de Tourinnes est dédiée à Saint Martin.
Église de Tourinnes-la-Grosse © Ooh ! Collective
SAINT MARTIN vécut au IVe siècle. Alors qu’il était militaire de carrière, il partagea son manteau avec un pauvre. Il devint prêtre puis évêque de Tours et contribua largement comme missionnaire à l’organisation des premières paroisses rurales.
Il symbolise le partage et la charité.
Un brin de poésie
La fiancée des étoiles
Gaspard Neuf mois ?!...
Tchéou Qu’importe roi Gaspard, la recherche de la sagesse vaut bien quelques privations. Et puis les voyages forment la jeunesse.
« Si tu pars, tu peux revenir, si tu ne pars pas, tu ne reviendras jamais »
Yin Mon roi, les étoiles sont accrochées au ciel et c’est le ciel qui doit nous gouverner. Si les étoiles nous montrent la route, il faut les suivre.
« Si tu pars pour un jour, emporte des biscuits pour deux jours ; si tu voyages à la saison sèche, emporte des habits pour la saison des pluies. »
Extrait de la pièce de théâtre de Julos BEAUCARNE dans L’Avenir change de berceau, jouée aux fêtes de la Saint-Martin à Tourinnes en novembre 1995.
Julos Beaucarne © Ooh ! Collective
Prière Saint-François d’Assise
qui a inspiré Max van der Linden, fondateur des fêtes de la Saint-Martin.
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu'à consoler,
à être compris qu'à comprendre,
à être aimé qu'à aimer.
Car c'est en se donnant qu'on reçoit,
c'est en s'oubliant qu'on se retrouve,
c'est en pardonnant qu'on est pardonné,
c'est en mourant qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
Petit abécédaire
Rappelons que le créateur de cette fête avait pour ambition de devenir prêtre. Il prit une voie parallèle, certains diraient similaire, consacrant sa vie entière à l’Art et aux autres. Tout comme Saint-François-d'Assise, il était issu d’une famille aisée. Saint-François l’inspira, c’est certain.
CÉRAMIQUES DE MAX VAN DER LINDEN
MARIE-MADELEINE : « La ville est toute blanche, impassible. Elle s’en vient, Marie-Madeleine, timidement, longeant les murs, elle ne veut pas qu’on la reconnaisse, vers une présence, vers la lumière. La haine se rassemble dans la pénombre. La ville est impassible, indifférente, mais, en ces murs, bat le cœur du monde. » Max van der Linden
FRANÇOIS ET CLAIRE : « À 18 ans, abandonnant tout, la noble Claire d’Assise rejoignit saint François. Il fut pour elle un maître qui l’enseigna et un ami. Leur amitié fut un puissant stimulant pour parcourir le chemin vers la sainteté. » Benoît XVI
LE BAISER AU LÉPREUX : « ‘‘Le seigneur lui-même me conduisit parmi les lépreux et je leur fis miséricorde.’’ C’est ainsi qu’à la fin de sa vie, François d’Assise parle de sa conversion. Dans les lépreux, il a reconnu et découvert le visage de Celui [...] qui l’a appelé dans son Évangile à tout laisser pour crier au monde son Amour, le visage d’un Dieu pauvre, humble et crucifié par désir de l’homme. » Frère Daniel Painblanc, OFM.
LA JOIE PARFAITE : « François et ses frères font route de Pérouse à Assise, le froid est intense et les fait souffrir. François demande à ses frères : ‘‘ Quelle est, pour vous, la joie parfaite ?’’ Et ils répondent tour à tour : ‘‘C’est connaître toutes les langues du monde... ou... On nous apporte beaucoup d’argent pour les pauvres...ou... Nous convertissons tous les infidèles’’. François répond : ‘‘Ce n’est pas cela la joie parfaite. Écoutez : nous arrivons à Assise le soir, nous sommes tellement gelés que les glaçons qui pendent au bas de nos robes, nous blessent les jambes. Nous frappons à la porte du couvent mais le portier n’ouvre pas, il nous traite de vauriens, nous jette des épluchures, il veut lâcher les chiens et nous rouer de coups. Si même en ces moments-là, nous pouvons rester unis dans l’affection, garder notre allégresse et notre patience, alors là, c’est la joie parfaite. » Max van der Linden
CANTATE DANS UN VIOLONCELLE : « La musique tient une grande place dans ma vie. Mon violoncelle reste pour moi un compagnon bien-aimé. J’en joue encore, à la demande, aux mariages, aux funérailles ou en pleine nuit parfois, quand tout est calme. Mes instruments furent souvent de pieuse mémoire : incendies, chutes, en vélo ou piétinement d’un cheval entré de nuit par la fenêtre de mon atelier. Alors, je farcissais de céramiques mon violoncelle éventré. » Max van der Linden
JOËL : « C’est triste le départ d’un ami (la maison est en ruine), mais c’est aussi le renouveau d’une autre vie (les plantes poussent dans les ruines). À demi caché, derrière le jeune homme, le Seigneur semble dire ‘‘Si à travers les êtres, à travers toute chose, c’est vers Moi que tu viens, tu ne seras jamais déçu.’’ » Max van der Linden
QUELQUES ARTISTES INVITÉS
PAUL DELVAUX (1897-1994): Peintre, dessinateur et graveur belge. [...] Vers 1935, il eut la révélation des œuvres de De Chirico et de Magritte et représenta alors avec une facture très traditionnelle, minutieuse et réaliste, des scènes de caractère onirique et érotique où réapparaît de façon obsessionnelle le même type de femme nue placée le plus souvent dans un décor d’architecture néo-classique (palais, temple, colonnade, jardin) ou plus prosaïque (salle de gare, intérieur bourgeois). [...] Il est l’auteur de vastes décorations murales ainsi que d’aquarelles, dessins et lithographies moins académiques, de facture plus libre, d’où émane une impression de mystère et de dépaysement.
Le Petit Robert des Noms Propres, édition 2002, p 578 [Delvaux]
JEAN-MICHEL FOLON (1934-2005): Dessinateur belge. « Après des études d’architecture, il se consacra à l’illustration de revues, d’affiches, de calendriers. Son style épuré, dans la technique légère de l’aquarelle, évoque un univers énigmatique, évanescent, dans lequel semble flotter, désemparés, des êtres mécanisés. Il a réalisé plusieurs illustrations de livres de Lewis Caroll, Kafka et Borges. » La Fondation Folon se situe à La Hulpe en Brabant wallon.
Le Petit Robert des Noms Propres, édition 2002, p 746 [Folon]
Merlin et la Table Ronde de Xavier Deutsh, 2012 © Ooh ! Collective
ARTISTES INVITÉS DE 2012
HÉLÈNE AMOUZOU (née en 1969 au Togo): « Elle vit en Belgique depuis 1998 où elle suit les cours de photographie [...]. Ces autoportraits datent de ses années d’études, durant la période où elle était demandeuse d’asile. Elle a mis dix ans à acquérir le droit de résidence, non sans se sentir marginalisée et stigmatisée. » (1)
STÉPHAN BALLEUX (né en 1974 à Bruxelles) : « Il vit et travaille à Bruxelles. Les différentes techniques qu’il utilise (dessin, peinture, sculpture, vidéo…) constituent les champs d’investigation multiples d’une œuvre qui questionne l’identité et la place de la peinture dans notre époque contemporaine du virtuel et de la communication.» (1)
MICHEL CLERBOIS (né en 1958 à Soignies) : « Il propose à travers des performances et expositions personnelles et collectives en Belgique et ailleurs une œuvre plurielle, rigoureuse, poétique, et qui, avec humour et autodérision, plonge le spectateur dans un champ d’explorations visuelles d’où émerge ses pérégrinations, sa propre histoire. » (1)
ANA GALLARDO (née en 1958 en Argentine) : « Sa matière, ce sont les gens, leurs vies, leurs objets, leurs histoires. Elle porte un regard attentif, vif et chaleureux aux êtres et aux choses qui les accompagnent. D’une histoire individuelle, elle fait un récit où les potentialités fictionnelles, affectives ou mémorielles des objets rejoignent la mémoire collective. » (1)
LES SOEURS MARTIN (nées en 1956 en Suisse) : « Elles vivent et travaillent à Bruxelles et Lyon. Leur démarche pluridisciplinaire est une interrogation constante du concept de l’identité à travers des formes qui s’interpénètrent : écriture, son, photographie, vidéo, installation, performance. » (1)
JUAN PAPARELLA (né en 1965 à Buenos Aires) : « Il vit en Belgique depuis 1991 et présente son travail dans de nombreuses expositions collectives et individuelles, en Belgique et à l’étranger. Une œuvre qui ne se donne pas d’emblée mais qui, de la photographie au dessin, dissèque notre complexité, notre insaisissabilité, l’instabilité du monde et, plus encore, la fragilité de la vie. » (1)
VAHAN POLADIAN (né en 1902 ou 1905 en Arménie) : « Confronté très jeune au génocide de son peuple et à la mort de son père et de son frère aîné, il connaît ensuite l’exil, la guerre, la solitude. Il rejoint alors le Home Arménien de Saint-Raphaël, en France. Les seize années passées au sein de cette institution sont caractérisées par un repli autistique et une formidable énergie créatrice. En 1982, il décide de ne plus s’alimenter et se laisse peu à peu mourir. » (1)
DOMINIQUE THEATE (né à Liège en 1968) : « A 18 ans, alors qu’il se prépare aux Beaux-Arts, il est victime d’un accident de moto très grave [...]. Et pourtant, contre toute attente, il réapprend à marcher, à parler et à dessiner. Il a bloqué le compteur sur l’année 1986 mais ne cesse de se projeter dans des autoportraits sensibles, inventifs, touchants. » (1)
DOMINIQUE VRANCKEN (né à Liège en 1960) : « Il a fréquenté plusieurs années l’atelier 17 de Barvaux sur Ourthe, lieu de création et d’épanouissement pour personnes handicapées mentales ou souffrant de troubles mentaux. Il y a rempli les deux faces de nombreuses feuilles de papier avec des corps un peu fantômes, inspirés entre autres de catalogues de prêt-à-porter, vides de toutes substances mais d’une force expressive fabuleuse. » (1)
(1) Artistes invités 2012 [en ligne]. Site officiel des fêtes de la Saint-Martin. Disponible sur : <http://www.tourinnes.be/category/2012/expositions-2012-2012/artistes-invites-2012/> (consulté le 26/12/2012)
Sources
Catalogue 47e fêtes de la Saint-Martin. Tourinnes-la-Grosse. Tourrines-la-Grosse : Les Amis de Tourinnes, 2012
(1) BEAUCARNE, Julos. L’Avenir change de berceau, pièce de théâtre jouée aux Fêtes Saint-Martin de Tourinnes en novembre 1995, p 34
(2) PAPARELLA, Juan. L’étranger. L’autre. Celui qui nous habite. Tourinnes-la-Grosse :
Les Amis de Tourinnes, 2012. p 66
Fêtes de la Saint-Martin, Tourines-la-Grosse [en ligne].
Disponible sur : <http://www.tourinnes.be/> (consulté le 26/12/2012)
Max van der Linden : céramiste belge [en ligne].
Disponible sur : <http://www.maxvanderlinden.be/ > (consulté le 26/12/2012)
Église Saint-Martin [en ligne]. Nétradyle, cercle d’histoire et de généalogie.
Disponible sur : <http://www.netradyle.be/tourinnes.htm>
Prière de Saint François d’Assise [en ligne]. Conférence des Évêques de France.
Disponible sur : <http://www.eglise.catholique.fr/foi-et-vie-chretienne/la-vie-spirituelle/priere/priere-de-saintfrancois-dassise.html > (consulté le 26/12/2012)
Le savoir-faire de la céramique traditionnelle de Horezu [en ligne]. Site officiel de l’UNESCO.
Disponible sur :<http://www.unesco.org/culture/ich/index.php?lg=fr&pg=00011&RL=00610> (consulté le 26/12/2012)
[S.a], Le Petit Robert des noms propres. Paris : Le Robert, 2002.
Dictionnaire Larousse [en ligne].
Disponible sur : http://www.larousse.fr/ > (consulté le 26/12/2012)
Liens utiles
Site officiel des fêtes de la Saint-Martin, Tourines-la-Grosse : http://www.tourinnes.be/
Site de la paroisse Saint-Martin à Tourinnes-la-Grosse : http://www.eglisedetourinnes.be
Site de la Province du Brabant wallon : http://brabantwallon.be
Site de la Maison du tourisme de la Hesbaye brabançonne (site d’informations touristiques sur Tourinnes-la-Grosse et environs) : http://www.hesbayebrabanconne.be
Site de la Fondation Folon : http://www.fondationfolon.be/
BRUTSAERT, Emmanuel (dir.). Histoire et Patrimoine des Communes de Belgique. Provinces du Brabant wallon. Bruxelles : Éditions Racine, 2008, 86p.